Crédit photo : TEA & TY
Découvrez notre présentation de la marque TEA & TY !
D’où vient le nom de votre marque ?
TEA pour thé en anglais et TY maison en breton. Ce nom est une symbolique du thé c’est-à-dire d’ici, d’ailleurs et de partout. D’où l’utilisation de l’anglais, langue universelle par excellence et du breton. Car au delà de la sonorité du nom un peu « explosive » pour les anglophones, il est représentatif du caractère universel du thé.
Ce nom vient d’un cheminement de création : nous sommes partis du concept et de ce que nous voulions en faire puis nous avons développé une petite dizaine de noms qui racontaient tous leur propre histoire. Au final TEA & TY est ressorti grâce à toutes les possibilités de déclinaisons et les différentes identités visuelles qu’il permettait.
Comment est née votre marque ? Racontez-nous son histoire.
Tout a démarré par une reconversion professionnelle. Ma volonté au départ était de vendre du thé. Mais il se trouve que les marques qui auraient pu m’intéresser étaient indisponibles sur Rennes ou totalement inconnues. Et c’est à ce moment que j’ai décidé de partir de zéro et de créer TEA & TY. Ce qui au départ n’était qu’une idée, une envie, est devenu très concret en quelques semaines.
Et votre marque aujourd’hui, qu’est-elle devenue ?
Maintenant après 2 ans et demi de vie, TEA & TY est une boutique physique dans le centre de Rennes à deux pas du Parlement de Bretagne avec 130 références de thé, une boutique en ligne ouverte depuis un an et qui a vu le jour grâce à un financement en crowdfunding ayant mobilisé 90 personnes en 32 jours. Vous pouvez retrouver du thé TEA & TY dans plusieurs restaurants rennais, et d’autres commerces qui souhaitaient améliorer leur accueil client, un salon de thé sur Redon et enfin depuis quelques jours MARY’S TEA ROOM, tout nouveau salon de thé sur Nantes qui est le premier revendeur de thé TEA & TY.
Ce n’est que le début, d’autres partenaires vont arriver prochainement à Rennes et dans d’autres villes. Petit à petit la notoriété de TEA & TY grandit et la réussite future passait aussi par un partenariat avec Envouthé !
Crédit photo : TEA & TY
Quelles sont les valeurs que vous voulez défendre ?
Elles sont nombreuses, mais pour faire simple et court le premier critère c’est le goût, puis prioritairement bio et aromatisés naturellement.
Pour la découverte dans la partie salon de thé, la théière est à un prix unique, ce qui permet de tout goûter sans qu’un critère d’ordre financier vienne perturber le choix. C’est avant tout le plaisir et l’envie qui va guider le choix. Vous avez envie d’un Earl Grey pour votre goûter ou vous n’avez encore jamais testé un Darjeeling de printemps ? Pas de problème, faites-vous plaisir !
À TEA & TY pas de doctrine mais des conseils. Chacun est libre de boire le thé comme il lui plaît, avec du lait ou sans, avec ou sans sucre, très infusé ou peu, vous ne serez pas jugés. Il n’y a rien de plus personnel que le goût, la preuve étant la quantité infinie de thés d’origines ou aromatisés. Il suffit de guider les buveurs de thé vers le goût, la saveur qu’ils apprécieraient le plus.
Qu’est-ce qui vous définit comme une marque de thé française ?
Je ne revendique pas de nationalité, comme je l’ai dit plus haut, le thé étant universel, cultivé et bu sur tous les continents, au même titre que je ne fais pas de thé estampillé Bretagne. Chez TEA & TY, il n’y aura jamais de thé au caramel beurre salé ou de goût “crêpe” car je ne pense pas qu’il faille tomber dans le cliché pour revendiquer une identité.
Après il y a des influences, forcément. Au même titre qu’un cinéaste, un écrivain ou un musicien ont été influencés par leurs origines et par l’environnement qui les a vu grandir.
Pour TEA & TY, c’est un peu pareil. Né à Rennes, il grandit avec des influences bretonnes, françaises, anglaises, russes, chinoises, japonaises, taïwanaises, celles qui ne sont pas encore là et bien d’autres… Un jour un client m’a dit que la boutique ressemblait à ce qu’on pouvait retrouver à New York, sans doute une des villes les plus cosmopolites du monde avec des influences du monde entier. Donc TEA & TY c’est ainsi que je le revendique, né et ayant grandi en France mais influencé par le thé du monde entier.
Crédit photo : TEA & TY
Qu’est-ce qui fait la spécificité, le petit “plus” de vos thés, selon vous ?
Les thés doivent nous raconter une histoire, avant, pendant et après la dégustation. Qu’elle soit réelle, légendaire ou bien fictive, l’histoire doit sublimer le thé. C’est en partie ce que fait Envouthé avec les Box à thèmes. Vous créez un terrain fertile à l’imaginaire sur lequel viennent se greffer les thés de toutes vos marques partenaires.
Donc en « petit plus », toutes ces petites histoires et anecdotes qui entourent les thés.
Mais de manière plus terre-à-terre, on peut dire aussi que la priorité de TEA & TY c’est le goût. Si le thé peut être bio ou, pour les thés aromatisés, avec des arômes naturels c’est mieux, l’idée étant par exemple que, dans un « simple » thé à la vanille, l’on retrouve la douceur et la richesse de son goût qui est très éloigné de la vanilline de synthèse.
Votre marque, en quelques chiffres ?
2 ans et demi d’existence, 130 références, 1 million d’idées pour l’avenir…
Et en 3 mots ?
Partage, plaisir et découverte.
Racontez-nous une anecdote sur un thé présenté dans une de nos Box !
Le thé présent dans la Box Terrible Jungle, Le trésor de « La Buse », est inspiré d’un pirate, Olivier Levasseur, considéré comme le pirate ayant réussi la plus grande prise de piraterie de l’hémisphère sud.
Le problème est que son trésor n’a jamais été retrouvé… Après sa capture et au moment de monter à l’échafaud il aurait crié « mon trésor à qui saura le prendre » en jetant un cryptogramme à la foule.
Et c’est à la suite d’un séjour à la Réunion, grand pays de mangue et de vanille, et en ayant visité le cimetière marin de St Paul où le pirate est enterré (avec une tête de mort sur la croix de sa tombe) que m’est venu le nom de ce thé, en me remémorant ce beau voyage.
L’idée était qu’à chaque tasse de ce thé on se dise que l’on a découvert une partie du trésor caché de « La Buse »…
Crédit photo : Envouthé
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