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Dans la théière d’Anne Gallet de Santerre

10 septembre 2016

Entrevue avec Anne Gallet de Santerre, fondatrice de En Aparthé.

Qui êtes­-vous ?

Un être social, profondément. Une amoureuse de thé et de convivialité. Une lectrice exigeante mais fidèle. Une gourmande déraisonnable.

anne

Crédits Photo : En Aparthé

Votre premier souvenir de thé ?

Jouant à la dînette avec le service en étain de ma grand-­mère paternelle, je m’amusais à mélanger de l’eau et du sucre pour pouvoir « servir le thé ».

Quelques temps plus tard, ma maman me laissait finir ses tasses au petit­-déjeuner et je buvais des « pisse-­mémés » le soir chez ma grand-mère.

Puis j’ai eu droit à mes premiers sachets infusés.

Enfin, la rencontre avec le thé en vrac et le début de belles histoires.

Quelques uns de vos thés préférés ?

Le Qimen Mao Feng de Chine de chez Cha Yuan, les oolongs taïwanais très oxydés, le Houjicha et le thé noir Orange douce de la boutique, terriblement simple mais tellement parfait !

Pour vous, le thé en 3 mots c’est quoi ?

Pause – Rencontre – Plaisir

Quel est le moment où vous préférez boire votre thé ?

Le moment où j’en profite le plus : le dimanche, jour de repos intégral, à la maison.

Quel est votre tasse ou objet de thé préféré ?

Ma tasse fleurie en grès rouge de ma potière et amie Marina Leflon.

Qu’avez­-vous envie de dire aux amateurs de thé ? Et à ceux qui découvrent les plaisirs

du thé ?

Aux amateurs : ne vous donnez pas de limite ! Osez mélanger, tester, découvrir et sortir de vos habitudes.

Aux néophytes : n’oubliez pas que l’important, c’est de vous faire plaisir : le thé se boit où vous voulez, comme vous voulez, quand vous voulez… si c’est comme ça que vous l’aimez !

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